FRANÇOIS-XAVIER POULAILLON

« Ma rencontre avec l’ardoise a profondément transformé ma pratique de la sculpture par la reconnaissance des formes élémentaires du minéral. C’est toute la complexité de sa présence qui m’attire, sa simplicité sans apparat.

La fragilité inhérente à sa structure et sa résistance.

La douceur de son poli piqué d’étoiles de pyrite,

Son ciel de constellations et sa terre d’ancienne argile.

La lumière discrète du clivé.

Sa noirceur obscure de bétyle.

Délicate et affûté.

Je l’aime. »